La digitalisation des achats automobiles pour le consommateur
De plus en plus d’internautes sont prêts à acheter une voiture sur internet. C’est pourquoi les fabricants et les distributeurs investissent autant dans la numérisation. Même si cela dépasse l’intention du client, il est indispensable de se rendre en magasin.
La production de véhicules à l’usine Stellantis de Mulhouse (Oran) a été bloquée pendant près d’une semaine Selon une étude menée par Gearshift en partenariat avec TNS et animée par les équipes automobile et mobilité de Google lors du webinaire Think Auto 2021, « 50% des internautes envisageront d’acheter un VN ou une voiture d’occasion en ligne à l’avenir. Nordahl Ballingall, directeur du conseil automobile de Google. « Les demandes de renseignements sur les voitures en 2021 ont augmenté de 27 % par rapport à 2019. » « 70 % des personnes interrogées ont commencé à acheter des voitures en ligne », précise la directrice de l’automobile, du voyage et des voitures de luxe, ajoute Anne-Véronique Baylac. Sur Google.
Cependant, peu de clients adoptent pleinement l’approche numérique. Guillaume Couzy, directeur de Stellantis France, qui était invité à l’événement, admet que « les ventes en ligne ne sont que de 3% ». Et de souligner le besoin toujours fort du client de « toucher et essayer le véhicule, sans parler du potentiel de vente dans la transaction ». Les recherches de Google montrent également que le test reste un levier pour confirmer la décision d’achat. Mais la croissance des ventes en ligne est continue. Par exemple, Citroën Ami, qui est essentiellement « vendu en numérique, a enregistré 10 000 commandes depuis son lancement, et réalise 35% des livraisons à domicile ».
Développement des e-conseillers
Pour cette raison, SEVEN va continuer à promouvoir la digitalisation du parcours client . « La vente en ligne implique souvent des appels téléphoniques, des vidéos ou des chats, nous allons donc augmenter la formation des e-consultants” En parallèle, nous continuons à développer des showrooms virtuels. « Quels sont les avantages de développer davantage Google My Business pour les vendeurs ? A l’autre bout de l’écosystème de la distribution automobile, Hervé Miralles, directeur général d’Emil Frey France, un leader français de la distribution qui commercialise 130 000 VN dans 250 points de vente, a déclaré : « Une marque particulière s’appartient. Avec la volonté de vendre directement aux produits, les distributeurs doivent y répondre en mettant à la disposition de leurs clients des outils numériques autonomes et complémentaires à l’offre du constructeur. » Il admet également que « les ventes 100% digitales sont très faibles » en ce moment, mais le groupe adopte une approche digitale et physique, notamment à travers la marque Autosphère. « . Le groupe a utilisé les mêmes principes pour développer des adaptations rapides de carrosserie et de véhicule. L’intention de faire quelque chose.
L’importance de la vidéo
En plus des efforts de digitalisation du parcours client, les marques communiquent de plus en plus en ligne en créant des contenus vidéo adaptés à des supports spécifiques. C’est le cas, par exemple, à l’ère moderne de Toyota, qui a fourni la réputation de YouTuber pour promouvoir la nouvelle Yaris Cross, ou la web série de véhicules électriques. Selon cette enquête, 69 % des clients VN (+ 7 % par rapport à 2018) visitent encore réellement YouTube (propriété de Google) pour en savoir plus sur leurs produits. Dans le détail, 34% des sondés qui souhaitent acheter des VN utilisent ce support pour comparer, 32% pour prendre des décisions et 22% pour découvrir de nouvelles marques.