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Qu’est-ce que la révision d’une voiture ?

Qu’est-ce que la révision d’une voiture ? Quelle est l’utilité de la révision ? Il est important de faire la révision de la voiture pour examiner régulièrement tous les différents composants. En effet, le but est de garder la fiabilité, la performance ainsi que la longévité du véhicule en réalisant un entretien à partir des visites. À quel moment faut-il effectuer la révision de la voiture ? Avant d’effectuer la révision de la voiture, il faut rassembler quelques éléments importants. Il y a le type de voiture, le nombre de kilomètres, la manière dont l’usage adopté lors de la conduite ainsi que les conditions. En parlant de conditions, une voiture peut être utilisée en ville, en campagne et avec un climat différent selon la région. C’est la raison pour laquelle, un carnet est remis par le constructeur au moment de l’achat afin de vérifier l’entretien déjà effectué. Quel est l’intérêt de faire la révision de voiture ? L’entretien régulier de la voiture à partir du carnet d’entretien remis par le constructeur ; Assure la sécurité du conducteur, le confort ainsi que le bon fonctionnement de l’automobile ; Réaliser une vérification de kilométrage tous les 15 000 à 30 000 selon le type de véhicule Est-il obligatoire de faire la révision de sa voiture chez le constructeur ? La réponse est non, le propriétaire n’est plus dans l’obligation de faire la révision de sa voiture chez le constructeur. Il existe les Centres ou des flottes automobiles qui peuvent fournir aux propriétaires toutes les informations techniques en respectant le plan d’entretien de chaque véhicule. De plus que tout dépend de la marque pour que le suivi s’effectue normalement. Ce qui veut dire que la garantie constructeur est préservée. Quel type d’opérations les professionnels effectuent lors de la révision d’une voiture ? Normalement, il y a plusieurs types d’opérations qu’il faut effecteurs lors de la révision : Vidange du moteur ; Remplacer les filtres à moteur que ce soit à essence ou gazole ; Vérifier ou changer la courroie ; Dépoussiérer les freins à tambour ; Contrôler le liquide de refroidissement et la direction assistée ; Recharger le fluide frigorigène pour la climatisation ; Vérifier ou remplacer les bougies ; Faire le diagnostic électronique, ce qui concerne particulièrement les véhicules modernes. L’engagement des centresPour qu’un centre obtienne la labellisation, il faut qu’il soit agréé en répondant aux critères importants comme suivre une formation ou détenir les équipements nécessaires. En effet, c’est la manière de prouver à la clientèle que le centre peut offrir des services de qualité. Chaque année, un audit est effectué pour tous les centres labellisés pour que le niveau de prestation reste impeccable. De plus, il faut que ces centres intègrent le système d’innovation technologique.Ayant le même titre que le constructeur, ces centres agréés doivent disposer des compétences techniques et des outils de diagnostic afin d’agir efficacement sur chaque type de véhicule. L’objectif est de garantir une fiabilité par rapport à leurs prestations. Alors, n’hésitez pas à consulter les listes de centres labellisés.Entretien : c’est la réalisation de la « révision constructrice » en suivant le carnet d’entretien que vous avez obtenu chez le constructeur. Il s’agit de faire la vidange du moteur, de remplacer les filtres à moteur, de remplacer les pièces qui présentent des défaillances et de vérifier les points essentiels mentionnés dans le carnet.Sécurité : faire le diagnostic électronique complet et identifier tous les défauts pour intervenir efficacement. Quelques conseils pour la révision de votre voiture Identifier tous les défauts afin de remplacer les pièces d’usures ; Respecter le carnet d’entretien ; Respecter les 5 mises à niveau : pression des pneus, liquide de refroidissement, liquide de batterie, liquide de direction assistée, liquide de lave-glace. Si vous passez chez un centre spécialisé, le centre sera ravi de vous proposer le diagnostic de votre véhicule pour effectuer les 25 points de contrôle. C’est à partir de ce moment que le technicien va observer tous les éléments qui nuisent au bon fonctionnement du véhicule. D’ailleurs, ces éléments peuvent causer l’insécurité du conducteur et des passagers. Pour ce qui est du prix, le diagnostic est totalement gratuit lorsque vous faites une visite alors n’hésitez pas à organiser un rendez-vous en ligne. Quels sont les 25 points de révision ? 1. Vérifications visuelles  Pneu avant gauche – Droit ; Pneu arrière gauche – Droit ; Roue de secours ; Éléments de direction ; Éléments de suspension ; Géométrie ; Plaquettes de frein ; Disques de frein ; Amortisseurs ; Flexibles ; Transmission ; Roulements. 2. Sous le capot Liquide de frein ; Température ; Niveau d’huile ; Lave-glace ; Batterie. 3. Tour de la voiture Éclairage ; Immatriculation ; Balais d’essuie-glace. 4. Sous la voiture Échappement ; Câbles de frein à main ; Fuites motrices apparentes.

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La visibilité pour une entreprise c’est quoi ?

La visibilité pour une entreprise c’est quoi ? Comment définir la visibilité ?   Ce terme désigne une mesure à partir de laquelle les dirigeants ou analystes d’une entreprise évaluent la rentabilité de celle-ci. La visibilité peut être faible ou élevée. Elle est évaluée sur le court ou le long terme.Sur le plan pratique, la visibilité d’un garage automobile ou toutes autre entreprise désigne les ventes et les bénéfices de cette dernière. Du point de vue des dirigeants, la visibilité de leurs entreprises peut être exposée au grand public, lors d’une conférence de presse ou lors de réunions par exemple. Du côté des analystes financiers, la visibilité peut être mentionnée dans leurs rapports de recherche. Cette donnée est évaluée pour aider à la prise de décisions d’investissement pour leurs portefeuilles. Notre logiciel garage automobile vous aidera également à améliorer la visibilité de votre entreprise. Voici les essentiels à retenir concernant la visibilité : Ce terme désigne une sorte d’estimation des performances futures d’une entreprise en se basant sur les analyses de la direction ou des analystes financiers. La visibilité peut être faible ou élevée, court ou long terme. Une visibilité élevée confirme souvent la fiabilité d’un projet, tandis qu’une faible visibilité signifie le contraire. L’économie influence la visibilité : plus la visibilité est élevée, plus l’économie est forte. Et vice versa. Les investisseurs sont en mesure de prendre de meilleures décisions d’investissement pour leurs entreprises grâce à la visibilité. Le principe de la visibilité   Les analystes et les membres de la direction d’une entreprise évoquent la visibilité dans le cadre de l’établissement de prévisions sur les éventuels bénéfices réalisés dans l’avenir. Une bonne visibilité signifie que l’équipe de la direction a su mener toute l’équipe de l’entreprise vers la concrétisation de ses projets. Si la direction jouit d’une bonne visibilité, cela signifie que les performances de l’entreprise sont optimisées. La direction est donc confiante dans ses projections. Si, au contraire, sa visibilité est faible, la mise en œuvre des projets d’entreprise peut être mise en cause. La visibilité devient faible lorsque des changements surviennent dans le cycle économique ou dans le marché. L’équipe de la direction préfère souvent dissimuler la faible visibilité de son entreprise pour éviter d’effrayer les potentiels investisseurs. Toutefois, cette vérité ne peut être dissimulée longtemps. De ce fait, il s’avère nécessaire d’entreprendre des actions raisonnables en fonction des évolutions du marché. Une direction qui profite d’une grande visibilité ne peut pas non plus ignorer les éventuels changements du marché. En effet, ses attentes de croissance peuvent ne pas se concrétiser dans le futur. La visibilité peut être catégorisée comme élevée ou faible. Elle est élevée lorsque les prédictions sont optimistes et faibles en cas de faible confiance en les performances futures de l’entreprise. La visibilité dans la durée   La visibilité est évaluée dans la durée. Elle peut être vue sur le court terme (un mois ou un trimestre par exemple), ou sur le long terme. Elle peut aussi être évaluée suivant un intervalle spécifique fixé par l’entreprise. Il arrive qu’une entreprise se contente de faible visibilité sur le court terme, alors qu’un concurrent jouit d’une forte visibilité sur la même période. Lorsqu’elle dispose d’une forte visibilité sur le long terme, elle intéresse davantage les investisseurs. En effet, cette forte visibilité mérite une analyse poussée afin d’appréhender l’organisation de l’entreprise. Un concept qui dépend de l’économie   Le niveau de visibilité d’une entreprise est évalué en fonction de son économie. Les entreprises qui jouissent d’une économie florissante ont plus de chance de profiter d’une bonne visibilité. Elles ont la possibilité de se projeter dans le futur en ce qui concerne ses bénéfices futurs. Dans le cas des entreprises dont l’économie est faible, sa visibilité est tout aussi faible. Durant les périodes d’incertitudes, l’entreprise s’abstient souvent de conseiller ses analystes et ses investisseurs sur la réalisation de ventes et de bénéfices. Dans certains cas, la visibilité de l’entreprise peut être faible, alors que son économie poursuit une évolution croissante. Ce cas de figure ne signifie donc pas que l’entreprise n’est pas suffisamment fiable pour ses investisseurs. Elle est capable de survivre à un éventuel ralentissement économique, puisque ses activités sont suffisamment florissantes. Quelle que soit la situation économique de l’entreprise, celle-ci peut avoir la capacité d’avoir une vue d’ensemble sur la croissance de ses activités. Elle peut effectivement améliorer son organisation afin de booster ses activités et garantir une grande disponibilité de ses produits à une certaine échelle. Visibilité ou transparence ?   La visibilité est un terme distinct de la transparence, bien que ces deux termes soient évoqués ensemble dans différents cas. La visibilité désigne la projection dans les bénéfices réalisés dans le futur, tandis que la transparence se définit comme l’accessibilité d’une information par une entreprise et sa direction. L’entreprise est considérée comme transparente lorsqu’elle délivre des informations financières sans aucune contrainte. Ces informations peuvent être des rapports financiers, des tarifs ou encore des pratiques de production. Elles sont souvent délivrées aux actionnaires, aux employés et au public selon la situation. Le sens de la visibilité Il s’agit d’une mesure estimant les performances futures d’une entreprise. La visibilité est évaluée par les équipes de la direction ou encore des analystes financiers. Elle est placée au rang d’indice clé de la performance de la gestion d’entreprise. Elle constitue un critère d’évaluation des entreprises du point de vue des concurrents et des investisseurs. Gagner en visibilité : comment procéder ?   Le gain de visibilité est possible en évaluant attentivement les données numériques de l’entreprise. Dans ce contexte, la direction peut vérifier chaque reçu, la liste des dépenses effectuées et la conformité des pratiques de comptabilité aux besoins de l’entreprise. Toutes les données chiffrées doivent être exactes ou, du moins, approximatives. Toutes ces actions menées doivent être profitables à l’entreprise. Quelle est l’importance de la visibilité dans le domaine de l’entrepreneuriat ?   La visibilité est une sorte d’indicateur du niveau de compréhension de l’entreprise quant à sa situation financière. C’est grâce à elle que l’entreprise

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Notes de frais : définition, conditions et remboursement

Notes de frais : définition, conditions et remboursement Une notion quasi inéluctable dans une entreprise, la note de frais permet aux employés ou aux chefs d’entreprise d’avoir le remboursement des frais. Ces derniers sont engagés par les salariés ou par les dirigeants pour améliorer leur activité professionnelle. Étant donné le cas donc, il est important de rester vigilant et la gestion des notes de frais doit être bien réalisée. Et même si ce document est un peu libre dans sa forme, il est obligatoire de respecter quelques procédures fiscales, sociales et comptables. L’agence Legalstart pourra vous donner plus d’informations sur ce que c’est une note de frais. C’est quoi exactement une note de frais ? Comme il est déjà mentionné précédemment, la note de frais s’agit d’un document réalisé par le salarié ou le dirigeant d’entreprise. Il présente les dépenses liées aux besoins exigés par une activité professionnelle. Ainsi, l’objectif principal de cette note est d’obtenir la rétribution. Prenons le cas d’une note de frais « frais de déplacement professionnel ». Ceci comprend plus précisément la note de frais en km, le frais de restaurant et d’hébergement. Le frais d’abonnement ainsi que celui de télétravail peuvent faire partie de cette note de frais. Les autos entrepreneurs et les bénévoles font partie des concernées ? Selon la loi de 1901 relatives aux notes de frais et d’association, le remboursement des notes de frais des bénévoles est possible. Mais il faut faire attention pour que ces remboursements ne deviennent pas un acquittement d’un salaire déguisé. Le mieux c’est de respecter les barèmes de l’administration fiscale en tenant compte des coordonnées de bénévoles et le prix TVA. En ce qui concerne la note de frais destinée aux entrepreneurs, sachez que leurs frais professionnels ne peuvent pas être remboursés. Cette situation est causée par le fait qu’ils bénéficient déjà d’un abattement forfaitaire. Ce dernier est appliqué immédiatement sur leur capital, peu importe le montant réel de leurs charges. En général, l’utilisation d’une carte bancaire d’entreprise permet d’échapper à la gestion de ces notes de frais. Un formalisme spécial pour une note de frais : c’est possible ? D’après la loi relative à l’établissement des notes de frais, il n’y a aucun formalisme spécial pour cela. Autrement dit, chaque société est libre de mettre en place le modèle de note de frais correspondant à ses besoins. Vous pouvez même vous servir d’un exemple d’une note de frais comme le tableau Excel, etc. Par contre, la note de frais doit contenir des informations plus détaillées : La date de caution de la dépense ; Nom de l’employé en question ; Description de la mission ; L’endroit destiné pour le déplacement ; Descriptif des frais par classes tels que le repas, le logis, etc. Les coûts engagés  L’indice de la TVA ; Les factures et les autres justificatifs. Que faire pour bien qualifier les notes de frais des employés ? La qualification des notes de frais des salariés se réalise à toutes les fins du mois. Cela se fait donc en même temps que le paiement du salaire des employés. D’ailleurs, la loi n’exige aucun délai pour le traitement de ces notes, mais il faut tout simplement que l’entreprise respecte un délai raisonnable. L’employé a la possibilité de solliciter une avance à son employeur si ce délai se justifie trop longtemps. Seulement, il est préférable d’utiliser cette avance lorsqu’il y a une dépense importante. Il se peut donc que les notes de frais représentent une somme importante pour l’entreprise. En effet, la mise en place d’un système de vérification de ces notes s’avère importante. Elle vous permet en quelque sorte de bénéficier d’un gain de temps important et du processus de contrôle et de validation facile. Remboursement des notes de frais : quelles sont les règles à suivre ? Pour que la note de frais soit validée, il existe notamment des conditions à respecter. Les dépenses devront être équilibrées et destinées aux besoins de l’activité de la société. Par la suite, la société pourra faire le choix entre le barème forfaitaire et le paiement des frais réels. Quel que soit le poste ou la catégorie professionnelle, le montant pour tous les employés restera dans ce cas-là identique. Voici maintenant les règles relatives à chaque type de frais : Restaurant : pour cela, il est obligatoire d’accompagner la note des frais par celle du restaurant. Mais, il faut mentionner la date, la somme et leurs noms suivis de ses qualités doivent être affichés au dos. À part le repas d’affaires, les frais du restaurant sont entre autres des avantages en nature. L’entreprise doit aussi minimiser le nombre de repas à payer et en déduire du solde des Tickets-restaurant du salarié. Par ailleurs, un modèle de note de frais du restaurant existe chez nous. Indemnités kilométriques : la note de frais kilométriques peut être remboursée par les frais réels ou le forfaitaire. Seulement, il faut tout simplement que vous utilisiez le barème de l’administration fiscale. Celui-ci permet d’acquitter les dépenses engagées par un véhicule comme le carburant, l’entretien, l’usure et l’assurance. L’employé doit donc mentionner sur sa note de frais tous les renseignements concernant l’utilisation du véhicule. Ce sont la raison, les lieux du déplacement, le nombre de km réalisés, le montant des péages, les chevaux fiscaux. Toutes ces actions mentionnées en haut doivent être toujours suivies d’un certificat d’immatriculation. Hébergement : si le salarié ne regagne pas son domicile à cause de l’éloignement de sa maison, il bénéficiera d’un remboursement des frais d’hébergement. Cela peut être aussi à l’origine de la faible desserte par le transport en commun. Si c’est le cas, il aura toujours une indemnité d’hébergement remboursée par l’entreprise. Mais pour les autres types de frais, il est obligatoire de les facturer. Il ne faut pas oublier que ces notes doivent être toujours suivies de justifications. Cependant, l’employé peut procéder à un certificat sur l’honneur pour pouvoir profiter d’une note de frais qui serait manquée. Les notes de frais : comment les gérer ? Étant donné le cas, il est indispensable de bien gérer les notes

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Qu’est-ce que le Contrôle Technique ?

Qu’est-ce que le Contrôle Technique ? Introduits en France depuis 1992, les contrôles techniques des véhicules ont été officiellement mis en place en mai 2008. Du fait de la mise en conformité européenne, les mises à jour réglementaires s’avèrent contraignantes et coûteuses pour les propriétaires. L’objectif de cette concertation est de réduire au maximum la mortalité routière. Nous avons constaté qu’un pourcentage élevé de ces accidents étaient principalement dus à des faiblesses de contrôle du véhicule. Une démarche qui vise à améliorer la sécurité routière d’ici 2020. En quoi consiste le Contrôle Technique ? La base de la gestion de l’ingénierie des véhicules repose sur deux points clés, qui reposent sur 25 ans d’expérience. L’objectif principal est d’améliorer la sécurité routière, mais aussi de contribuer à la protection de l’environnement. Après constatation de l’état du véhicule, une éventuelle réparation sera délivrée au propriétaire. Ces recommandations sont fournies pour vous aider à décider si vous devez procéder aux réparations nécessaires sur votre véhicule. Cette étape est obligatoire et suit une période précise. Originellement, le contrôle technique doit être fait six mois avant la quatrième année du véhicule. Après cela, le contrôle doit se faire tous les deux ans. La rubrique « I »du certificat d’immatriculation montre la date du certificat. Le contrôle technique : Un marché réglementé Contrairement à la commercialisation et à la réparation des véhicules, la direction technique est un organisme totalement indépendant. Ce statut est accordé par agrément de l’État et, comme toute institution, doit faire l’objet d’un contrôle constant. Le service de gestion technique n’agit pas en tant que réparateur et le siège social reste un prestataire de services. Seven Fleet, le logiciel de gestion parc automobile gère également l’administratif pour les entretiens et les contrôles techniques des véhicules. 2018 : le renouveau dans le Contrôle Technique Outre les nominations, 2018 a été un tournant pour l’institution. Les paramètres de contrôle sont plus importants, mais la vraie puissance de cette mise à jour réside dans la sévérité des sanctions. Cette mise en place se fait entrevoir avec une augmentation des points à contrôler allant de 123 à 133 lors de la mise à jour. Décrit actuellement comme étant des défaillances, les défauts aussi ont connu une hausse allant de 459 à 610. Améliorer ces chiffres n’est pas si important, mais le problème réside dans l’échec. Avec les anciennes dispositions, les lacunes relevées ne nécessitent pas nécessairement une nouvelle visite. Une panne deux mois avant la contre-visite promet une réparation, mais elle devient obligatoire. Cette deuxième visite sera plus exigeante et pourra entraîner trois sanctions : 1 – Les défaillances mineures : 139 erreurs mineures entrent dans la catégorie des erreurs sans impact sur la sécurité. Les défauts de ces degrés ne nécessitent pas une visite de retour. Je peux donc en citer quelques-uns. Rotules : peu de jeu ; Fuites moteur : Défauts mineurs ; Colonne de direction : Léger jeu. 2 – Les défaillances majeures : Plus important encore, les erreurs fatales comprennent celles qui nuisent à la sécurité du véhicule. Si le nombre est de 340, les dégâts qu’ils causent sont plus importants et justifient une visite de retour, comme : La durite de frein défectueuse : aucune fuite ; L’éclairage de plaque d’immatriculation défectueux ; Les émissions excessives de polluants. 3 – Les défaillances critiques : C’est le nouveau point qui va marquer la mise à jour du contrôle technique. Ils comptent aujourd’hui 127 défaillances critiques. Cette catégorie présente un taux de menace routière considérable mais aussi une forte probabilité de pollution environnementale. S’il est constaté une défaillance critique, le propriétaire est tenu de se rendre chez son garagiste. Son droit de circulation est limité à ce jour de contrôle. Après cela, il est accordé deux mois au propriétaire pour procéder aux réparations exigées. A l’exemple : Défaillance des feux stop ; Défaut de liquide de freins ; Présence de fumées ou de gaz d’échappement dans le logement. Que se passe-t-il en cas de défaillances multiples ? Si le certificat de défaillance suggère des défauts pouvant remettre en cause la sécurité et l’environnement, le contre visible est exigible. Les réparations requises doivent être faites le jour même du contrôle technique afin de suspendre le certificat de défaillance. Réparation faite, le propriétaire dispose de deux mois pour un nouveau contrôle. 1er Juillet 2019 : le changement dans les véhicule diesel Les voitures diesel plus anciennes ne seront plus célébrées l’année prochaine, car les limites de pollution sont encore réduites. Si l’instrument de mesure est le même, la méthode changera également. En fait, les contrôleurs techniques doivent atteindre une accélération beaucoup plus importante qu’auparavant. Des seuils plus bas et de nouvelles méthodes de contrôle devraient faire passer le nombre de visites de retour du 1 % actuel à environ 15 % (pour un centre donné entre le 1er septembre 2016 et le 30 avril 2017 résultats des expérimentations menées). Engageant la sécurité routière ainsi que la protection de l’environnement, les voitures françaises vieillissantes font face à un nouvel échec. C’est un signe supplémentaire que le gouvernement veut retirer les voitures anciennes du paysage automobile, notamment les diesels. Le gouvernement a décidé de ne pas durcir les conditions des contrôles techniques des véhicules à moteur pendant une période de six mois. Détection et comment éviter une défaillance critique ? Tout d’abord, il faut savoir qu’un véhicule entretenu régulièrement n’est généralement pas un gros problème. De plus, l’inspection est principalement liée à des facteurs tels que les pneus, l’éclairage, les freins, la carrosserie, les disques, etc. Vous pouvez souvent détecter ou prédire ce type de défaillance. Une usure excessive ou endommagée des pneus, un jeu excessif de la direction, des freins (disques et plaquettes) trop fatigués, des feux défectueux, une cabine mal assise ou de graves fuites de moteur peuvent tous être signalés à un ingénieur technique. Veuillez noter qu’il s’agit d’un risque pendant la migration. Le contrôle est refusé. Basée sur la directive européenne de 2014, cette nouvelle version reconnaît qu’un véhicule sur deux est susceptible d’être

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Ce qu’il faut savoir sur la contravention de voiture

Ce qu’il faut savoir sur la contravention de voiture Il faut noter que la contravention correspond aux violations, mais qui ne sont pas plus graves que les crimes. C’est dans le cadre de la conduite d’une voiture qu’on invoque la contravention, car il peut s’agir d’une amende ou de retrait de points. Prenons l’exemple d’un stationnement qui ne respecte pas les consignes, les excès de vitesse ou le manque d’équipement sur un véhicule. Quel est le moyen de paiement pour une contravention ? On peut classer la contravention en 5 catégories bien distinctes : la première catégorie comporte les contraventions qui ne sont pas graves alors que la cinquième catégorie est composée de celles qui sont plus graves. Pour ce qui du montant, le prix varie selon la classification de la catégorie, ce qui se situe entre 35 et 135 euros avec une perte de points sur le permis dans certains cas. Si le conducteur se classe dans la catégorie 5, il risque d’avoir un retrait de 6 points sur son permis de conduire. En plus, une contravention par courrier sera remise à l’adresse mentionnée sur votre carte grise du véhicule. Voici les options pour payer la contravention : Directement sur place : se rendre dans un guichet auprès d’un centre des finances publiques. Payer la contravention par chèque, par carte bancaire ou en espèces (un montant de 300 euros maximum pour le troisième choix) ; Voie postale : envoyer une carte de paiement pour la contravention avec le chèque à l’ordre du Trésor public ou de la direction générale des finances publiques ; Timbre dématérialisé : auprès des débitants de tabac agréé avec un paiement électronique pour les amendes ; Télépaiement : envoyer la référence sur la carte de paiement sur le site du gouvernement pour payer les amendes ou appeler le serveur local de télépaiement pour amendes. Est-il possible de contester une contravention ? Oui, il est possible de contester une contravention si les motifs sont bien solides. Il se peut que ce ne soit pas le propriétaire qui était au volant du véhicule ou que la voiture ait été volée au moment de l’acte. Pour le délai de la contravention, vous avez un délai de 45 jours pour contester avec une majoration d’un délai de 3 mois. Pour la procédure, vous avez deux options différentes : Le site de l’ANTAI : il s’agit d’une agence nationale qui traite automatiquement les infractions. Sur le site, il y a un onglet dédié pour les contestations. Sur l’onglet, vous devez saisir le numéro, la date de la contravention, le nom et prénom et la plaque d’immatriculation ; Par courrier : il faut envoyer la lettre recommandée avec un avis de réception à l’officier du ministère public. Cette lettre doit contenir un formulaire de requête pour exonération avec un avis de contravention. La durée de l’obtention d’une contravention est-elle longue ? De nos jours, le délai légal pour obtenir la contravention n’est mentionné nulle part. Par ailleurs, le conducteur peut attendre jusqu’à 7 jours pour recevoir la contravention. Lorsqu’il s’agit d’une infraction constatée à partir d’un radar, l’envoi peut s’effectuer en 5 jours. En revanche, pour les radars mobiles, l’attente peut s’étendre de 2 semaines à 1 mois avant d’obtenir la contravention. D’un côté, lorsque l’envoi a été effectué, vous avez un délai de 15 jours pour régler ou contester. À quel moment peut-on avoir qu’on a une contravention ? Pour connaître qu’on a une contravention, on reçoit souvent un procès-verbal par courrier à partir de l’adresse mentionnée sur la carte grise au moment de l’infraction. Si un contrôle a été effectué par les forces de l’ordre quand vous avez commis les faits ou qu’un radar vous a flashé, c’est à partir de ce moment que vous allez attendre la contravention. Cela peut aussi être le cas si vous avez roulé trop vite ou que vous avez grillé un feu rouge. Le PV que vous avez reçu vous donne toutes les informations sur l’infraction avec le montant à payer pour l’amende. Il se peut aussi que vos points soient retirés en cas de fautes graves. D’un côté, le responsable peut recevoir un email si vous avez communiqué votre adresse aux policiers lors de votre interpellation. Dans certains cas, une autre personne a le droit de vous désigner comme auteur des fautes s’il s’agit d’une location de voiture ou autre. Pour ce qui est des contraventions à partir d’un flash de radar, l’envoi de la photographie n’est pas automatique, c’est au responsable d’effectuer une demande. Dans le cas où vous ne recevez aucun courrier ou d’email, l’utilisation de l’ANTAI est tout à fait possible pour vérifier votre dossier. Sur le site, vous pouvez obtenir les détails de votre infraction : date, nature, coût, délai pour régler les amendes et nombre de points retirés si tel est le cas. Dans le cas où vous aviez commis une infraction alors qu’aucun PV n’est reçu, vous pouvez utiliser le site d’ANTAI pour voir si votre dossier y figure. Toutes les démarches sont possibles en ligne, il suffit de respecter les délais pour ne pas obtenir des majorations plus graves que la normale.

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Définir des indicateurs de performance

Définir des indicateurs de performance Indicateurs de performance, un concept phare pour la gestion de votre flotte automobile. Ces outils veillent à ce que les équipes fournissent leurs efforts dans le même sens. Indicateur de performance : définition Les indicateurs de performance fournissent aux décideurs une information quantifiée pertinente afin de mesurer et d’évaluer les résultats d’actions. Ces outils permettent le suivi de l’évolution de la performance et l’analyse d’une situation donnée. Utilisés à différentes échelles de l’entreprise, les indicateurs de performance se retrouvent dans les tableaux de bord. Fonction et application Voici les utilités des indicateurs de performance : Ils permettent d’aligner la stratégie et l’opérationnel pour que les points décidés en comité de direction soient acceptés au niveau de l’ensemble des services proches du terrain. Sur le plan organisationnel, ce sont des outils d’aide à la décision qui servent à mesurer la performance des processus et des progrès accomplis. Pour les domaines opérationnels dans l’ensemble, ils aident à évaluer l’atteinte des objectifs, à piloter la mise en œuvre des plans d’action, à mesurer l’efficacité d’une décision et celle d’une action corrective. Ces indicateurs sont à l’origine de l’engagement des collaborateurs dans leurs missions, lorsqu’ils sont fixés sur le plan individuel et rattachés directement aux objectifs. Qu’il s’agit de calculer une prime de performance ou de promouvoir l’avancement de carrière. Par ailleurs, ils tracent une ligne directrice claire et informent chaque membre de l’équipe sur son positionnement par rapport à ses résultats. C’est quoi un KPI ? Avec l’apparition de la BI ou Business Intelligence, le terme KPI ou Key Performance Indicators est de plus en plus utilisé. Les KPI ou indicateurs clés de performance permettent de mesurer la performance d’une entreprise, d’un service, d’un projet, d’un business unit au vu des objectifs qu’ils se sont fixés. Comment s’expriment les indicateurs clés ? Un indicateur clé peut prendre différentes formes. Un nombre, c’est l’expression la plus simple. Il peut exprimer un volume, un délai moyen, une durée, un coût, un montant, un bénéfice, etc. Pour un site internet, cela peut être le nombre de clics sur une page, de visiteurs uniques, d’abandons de panier ou le montant d’un panier moyen, etc. En général, ce sont des indicateurs de suivi. Un ratio est la façon la plus courante pour exprimer une performance. Par exemple, le taux de satisfaction client, le taux de disponibilité, le taux de fidélisation, le taux d’absentéisme, le pourcentage de parts de marché, etc. Pour un site internet, il peut s’agir d’un taux de conversion ou d’un taux de rebond. Grâce au ratio, on peut en déduire : Une efficacité compte tenu du résultat obtenu par rapport à l’objectif ;. Une efficience compte tenu du résultat par rapport aux moyens engagés ; Une rentabilité indiquant le rapport-bénéfice – investissement ; Un niveau de qualité avec le nombre de défauts et le nombre total. Élaborer de bons indicateurs Voici quelques conseils pour mettre en place de bons indicateurs : Garder un nombre limité d’indicateurs pour ne pas noyer les décideurs sous une pile de données ; Définir les indicateurs avec les équipes – moins on les impose, plus ils ont de chance de fonctionner. Les indicateurs doivent être : Faciles à comprendre. Ils doivent être impliquant de façon à motiver les équipes à agir ; Pertinents, car c’est tout l’intérêt d’un indicateur. Indicateur de résultat VS indicateur de suivi Quelle différence entre ces deux types d’indicateurs ? Un indicateur de résultat est relié à un objectif et exprime une réussite. Il permet d’affirmer si l’objectif a été réalisé ou non. Cet indicateur est constaté une fois l’action achevée. Un indicateur de suivi, quant à lui, permet de piloter l’action, en d’autres termes de mettre plus de moyens si besoin, d’ajuster le contenu de l’action, et autres. Avec l’indicateur de suivi, il est possible d’anticiper et de prendre des décisions avant le constat des résultats. Il s’agit d’un levier d’action qui contribue considérablement à l’atteinte de l’objectif. Exemple : dans une campagne d’emailing, l’objectif consiste à vendre des abonnements, disons 1 000 abonnements sur 3 mois. Dans ce cas, l’indicateur de résultat s’exprime par le nombre de ventes de nouveaux abonnements.Les indicateurs de pilotage sont :Le nombre d’emails ouverts, il faut revoir la formulation du titre du courriel si nombre insuffisant ;Le taux de conversion, retravailler les calls to action si le taux est trop faible.Ces types d’indicateurs permettent de suivre les actions à l’aide de points précis, afin de réajuster l’action.Quelques précautions à prendre : On peut utiliser les indicateurs de résultat pour le pilotage. Dans l’exemple de la campagne d’emailing, le nombre d’abonnements obtenus lors de chaque envoi permet de réajuster les autres envois en améliorant les performances (taux d’ouverture et de conversion…), ou en envoyant sur une base plus large. Cela est possible lorsque le résultat final apparaît après les résultats intermédiaires. Les indicateurs de chaque action deviennent des indicateurs de suivi de l’objectif général du plan.Reprenons l’exemple ci-dessus : Dans un plan global, les campagnes d’emailing sont utilisées pour améliorer les ventes en ligne. Disons que l’objectif est d’atteindre une progression de 30% des ventes en ligne sur un an. L’indicateur de résultat se définit comme le différentiel des ventes n/ ventes n-1 en pourcentage. Cet indicateur comprend les actions ci-dessous : Campagne d’affiliation ; Campagne display ; Campagne emailing. Dans cet exemple, l’indicateur du nombre d’abonnements obtenus par la campagne emailing est devenu un indicateur de pilotage du plan. En d’autres termes, lorsque la campagne sera achevée, si le nombre d’abonnements est inférieur au nombre attendu, on peut décider par exemple de la prolonger sur trois mois, et le plan sur 1 an. Comment mettre en place des KPI ? Comment choisir les indicateurs ? Tout d’abord, il faut savoir distinguer les indicateurs de suivi des indicateurs de résultats. Avec ces derniers, il est important de travailler à partir des objectifs afin de définir les mesures adéquates. Voici les 4 éléments caractéristiques d’un objectif : La finalité, c’est-à-dire le but recherché (maîtrise d’un problème, d’un effet, d’une cause, amélioration…)

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Tout savoir sur les badges de télépéage des autoroutes

Tout savoir sur les badges de télépéage des autoroutes Si vous êtes conducteur d’une automobile, vous rencontrez certainement ce qu’on appelle le péage quand vous entrez sur l’autoroute concédée. Avec ce péage, vous récupérez un ticket et après quelques kilomètres, vous rencontrez un autre péage. Celui-ci va vous demander de payer une somme pour votre voyage sur cette route. Mais pourquoi tant d’arrêts à chaque fois que le conducteur rencontre un péage ? N’existe-t-il pas des solutions qui permettent de faciliter la circulation du conducteur ? Effectivement, car il existe actuellement des badges de télépéage qui permettent d’organiser le passage d’une voiture et de procéder au paiement. C’est quoi exactement le badge de télépéage ? Le badge de télépéage est un petit boîtier électronique monté sur des supports amovibles et il se place dans l’habitacle de l’usager. Les badges de télépéage sont conçus suivant la technologie de pointe et peuvent ainsi montrer à un portique du télépéage l’existence du véhicule. Il s’ouvre automatiquement sans que l’usager de la route ne se déplace pour payer à une borne. À l’heure actuelle, il existe des badges de télépéage utilisables que ce soit sur le réseau autoroutier français ou dans certains pays européens. Le badge télépéage Ulys, par exemple, est valable non seulement en France, mais aussi en Espagne et au Portugal. Badge de télépéage : comment ça marche ? Appelé également OBU ou On Board Unit, le badge de télépéage s’agit d’un dispositif sans fil installé dans le véhicule du conducteur. Il permet aux conducteurs de bénéficier d’un passage facile et d’un paiement à proximité d’un péage autoroutier. Le boîtier de télépéage est composé des éléments électroniques de haute technologie ainsi qu’une antenne. Ses composants permettent d’émettre un signal qui est acquis par le portique de télépéage. Ce dernier vérifie les informations transférées par le badge et accorde par la suite le passage du véhicule. Ensuite, il envoie à nouveau ces données au badge de télépéage pour leur enregistrement. Il avise aussi le chauffeur qu’il peut poursuivre à circuler par l’intermédiaire d’un bip sonore. Pour le portique de péage, il passe par la suite le feu localisé devant le chauffeur. L’objectif, c’est de signaler au conducteur qu’il peut poursuivre sa route tout en relevant sa barrière. Où installer le badge de télépéage ? Concernant l’installation du badge de télépéage, il est important de la faire pour faciliter la communication entre le badge et le péage autoroutier. L’installation se réalise tout en collant le support amovible du badge sur le pare-brise du véhicule situé à proximité du rétroviseur. Il faut que le badge ait une bonne position, c’est-à-dire suivant le sens désigné par la société provenant de sa commercialisation. Le fait de le mettre dans une meilleure position permet au badge de bien transmettre les informations au péage routier. Si vous êtes conducteur, il est ainsi obligatoire de placer votre badge sur le support amovible quand vous circulez sur une autoroute. Il faut tenir compte de ce badge et le mettre à la main quand vous passez un péage. Pourtant, la tenue du badge à la main entraîne des problèmes comme l’empêchement de l’ouverture de la barrière ou les irrégularités de facturation. Quel est le prix d’un badge de télépéage ? L’abonnement d’un badge de télépéage se réalise suivant les offres d’abonnement et les sociétés offrant le badge. En général, le badge de télépéage coûte environ 1 euro à 3,50 euros par mois. Cependant, il est important de savoir également que l’abonnement peut être souvent gratuit. Mais cela est valable pendant les mois où les conducteurs n’abîment pas l’autoroute. L’abonnement d’un badge de télépéage peut également surpasser 40 euros pour les utilisateurs bénéficiaires d’une offre de service premium. C’est le même aussi pour les conducteurs qui paient une voie d’autoroute au minimum une fois par mois. Il y a encore l’abonnement relatif aux offres classiques qui coûte 12 euros à 24 euros. Cet abonnement est disponible chaque année au cas où le badge est employé mensuellement. À part l’abonnement, les chauffeurs devront aussi calculer les coûts engendrés par le voyage et ce paiement doit avoir lieu dans d’autres cas. Il est inutile, par exemple, de s’arrêter pour régler le compte demandé par le péage. Puis, le compte sera ensuite réglé en espèces ou prélevé au compte bancaire du conducteur lié au badge de télépéage. Pourquoi utiliser un badge de télépéage ? Étant donné le cas, il est évident que le badge de télépéage apporte de nombreux avantages aux conducteurs d’un véhicule. Grâce aux voies réservées, il permet avant tout de faciliter le passage au péage. Le conducteur pourra même bénéficier du passage sans arrêt à 30 km/h grâce à la technologie dont dispose le badge. En utilisant ce badge de télépéage, vous n’aurez aucun souci sur le paiement, car il se fera automatiquement. Ce genre de dispositif le conducteur peut profiter d’une voie de circulation spéciale. Celle-ci lui permet d’échapper aux longues files associées liées aux péages d’autoroutes durant la période de forte affluence par exemple. Il n’aura pas besoin de s’arrêter au cours de son voyage juste pour payer son passage au péage. Certains badges de télépéage vous permettent également de profiter des réductions au péage suivant votre nombre de passage.

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Qu’est-ce qu’un sinistre automobile

Qu’est-ce qu’un sinistre automobile Dans le cas de dommage sur un véhicule, c’est l’assurance automobile qui prend la situation en charge. C’est justement dans ce domaine que le sinistre automobile entre en compte. Appelé « fait dommageable », le sinistre automobile englobe les dégâts, matériels ou humains, incluant un véhicule. Dans une telle situation, l’assurance prend en main la gestion en mettant en avant les dispositions de garantie énoncées dans le contrat d’assurance entre les deux parties. En dehors des accidents routiers, bien la liste soit à titre indicatif, le sinistre automobile rassemble aussi d’autres situations comme : Le heurtement de deux ou plusieurs véhicules ; Le heurtement d’un corps, d’un piéton, ou d’un animal ; Le cassage des glaces du véhicule ; Le vol de voiture ; L’embrasement du véhicule ; etc Le recours à une exécution d’obligation est régi conformément à l’article 1315 du Code Civil. Cet article stipule qu’il en revient à l’assuré de justifier l’inclusion du sinistre dans le contrat d’assurance. De même pour l’assureur, en cas où ce dernier évoque la prise en charge du sinistre, il est dans l’obligation de justifier cette révocation. Le sinistre automobile : assurance de responsabilité civile automobile L’assurance de responsabilité civile est l’assurance obligatoire pour tous. Conformément aux dispositions du Code des assurances en son article L124-1-1, le concept de sinistre est bien défini : « Un sinistre est tout dommage ou ensemble de dommages causés à un tiers qui résulte d’un événement dommageable dont l’assuré est responsable et qui donne lieu à un ou plusieurs sinistres. Une série d’événements dommageables ayant la même cause technique est assimilée à un seul sinistre. » De ce fait, afin de jouir de la garantie de l’assurance, il est indispensable que le sinistre causé fasse l’objet d’une opposition. Cas de sinistre automobile : déclaration obligatoire à l’assureur En cas de sinistre survenu, l’assuré est dans l’obligation de saisir son assurance. Suivant l’article L113-2 du Code des assurances, cette saisie faite appelle aux garanties énoncées dans le contrat. En présence de sinistres, il est des délais que l’assuré doit respecter dans sa déclaration. S’il s’agit d’un vol de voiture, l’assuré à 2 jours pour saisir son assurance. En cas de fait dommageable, il a 5 jours pour faire sa déclaration. En tout état de cause, le preneur d’assurance ne peut être déclaré coupable de déchéance pour déclaration tardive que si l’assureur peut prouver que le préjudice a été subi du fait de la déclaration tardive. Cela ne peut être contredit, que ce soit par hasard ou par force majeure. Si le sinistre n’est pas inclus dans les termes du contrat d’assurance, ce dernier sera classé comme étant un « sinistre sans suite ».

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Les valeurs de l’entreprise

Les valeurs de l’entreprise Il s’agit de principes qui représentent la vision du dirigeant d’entreprise. Elles se retrouvent au centre même du management pour créer une culture d’entreprise. Reposant sur ces valeurs, la culture d’entreprise doit être incarnée par tous les collaborateurs pour une contribution au développement de votre société. Les valeurs d’entreprise concernent également les parcs automobiles. Grace à notre logiciel de gestion de flotte vous améliorerez également les valeurs de votre entreprise. Valeurs d’entreprise : quelques exemples Voici une liste de valeurs d’entreprises érigées dans quelques organisations : L’audace – oser et sortir de sa zone de confort pour affronter les défis ou se lancer dans de nouvelles actions ; Le respect – envers les collègues, mais aussi envers les clients ; Le partage – faire part des réussites et des échecs – avantager la coopération ; L’engagement – à réaliser une tâche, une mission, être engagé dans ce que l’on fait ; L’innovation – toujours faire preuve de créativité dans les idées, les nouveautés, les nouveaux procédés, etc. L’excellence – en toutes circonstances afin de satisfaire au mieux la clientèle ; L’intégrité, la proximité, la qualité et la bienveillance, etc. Prenons par exemple, le cas de Decathlon, une entreprise française créée en 1976. Son management repose sur 4 valeurs fondamentales : la vitalité, la responsabilité, l’authenticité et la générosité. Ces valeurs ont pour objectif de développer et de renforcer chaque personne travaillant au sein de l’entreprise. Un autre exemple, celui d’Apple qui repose son management sur 4 principales valeurs : l’accessibilité (que tous leurs produits soient accessibles à tous), l’environnement (utilisation de matériaux recyclés, réduction de l’empreinte carbone des produits d’ici 2030, etc.), la confidentialité (garantie du respect de la vie privée des utilisateurs), la responsabilité des fournisseurs (l’être humain au cœur de l’activité de l’entreprise implique des normes et des modes de conduite à tenir en compte). Dernier exemple, celui de Fonction : Support, dont la culture d’entreprise est basée sur : L’engagement pour pouvoir avancer – impliquant le professionnalisme et la confiance ; Le partage pour aller plus loin – se comprendre et mieux coopérer L’audace pour grandir et avoir toujours une longueur d’avance face à la concurrence – saisir l’opportunité de s’améliorer La bienveillance pour une protection et une progression mutuelle – être motivée à avancer et motiver les autres à avancer. Il est indispensable de voir de près la personnalité du candidat, il doit être sur la même longueur d’onde que la culture de votre entreprise. Connaître les valeurs d’un candidat Pour connaître les valeurs d’un candidat, plusieurs propositions s’offrent à vous : Faire des tests de personnalité en plus d’un entretien d’embauche. Ces outils permettent d’en savoir plus sur le caractère du candidat, sur sa manière d’agir, ses valeurs profondes, etc. Toutes ces données doivent être recueillies, y compris les traits de caractère inconscients ou cachés. Cela permettra de découvrir des atouts, des softs skills, des faiblesses afin de déterminer si le candidat est capable de s’adapter convenablement à l’environnement de l’entreprise ou pas. Le recrutement affinitaire : il se concentre directement sur l’adéquation entre l’entreprise et les candidats, notamment par le biais de leurs valeurs communes. L’entreprise va de ce fait, cibler généralement les candidats correspondant à sa culture. Le recrutement prédictif : cette forme de recrutement consiste à faire passer des tests aux salariés qui présentent un niveau de performance plus élevé. Le but est de définir quelques profils cibles pouvant correspondre à votre entreprise. Toutefois, ce type de recrutement fonctionne uniquement sur des entreprises assez grandes. En effet, pour réaliser une analyse pertinente de votre personnel sur différents postes et secteurs d’activités, il faut que votre entreprise soit suffisamment développée. La cooptation : une stratégie qui consiste à sélectionner un candidat à partir des recommandations. En d’autres termes, les salariés ou autres membres du réseau de l’entreprise vont proposer des candidats de leur connaissance. Le chef d’entreprise procède au recrutement sur la base de la confiance qu’il accorde à ses collaborateurs qui eux-mêmes font confiance au candidat qu’ils recommandent. Les prises de référence permettent de connaître à qui vous avez à faire. Prenez des références, contactez les anciens managers ou employeurs du candidat. Ces derniers vous en diront plus sur celui-ci, car ils ont eu une expérience de travail plus ou moins détaillée avec votre candidat. Vous pourrez aussi poser des questions spécifiques en fonction de vos observations. En dernier point, la personnalité du candidat à embaucher est importante et doit s’accorder avec la culture d’entreprise. S’il est vrai que le parcours académique, les connaissances et les expériences sont importants, et qu’ils révèlent visiblement les compétences acquises par le candidat ; les qualités de la personnalité sont moins faciles à discerner. Comment trouver l’équilibre entre valeurs d’un candidat et valeurs de l’entreprise ? Jauger l’accord entre les valeurs du candidat et celles de votre entreprise implique que les croyances et visions du candidat soient en adéquation avec celles de l’entreprise. Pour ce faire, assurez-vous d’abord de déterminer vos valeurs, car sans valeurs structurées et clairement définies, vous ne sauriez pas quels types de profils exacts correspondent à votre entreprise. Ensuite, vous définirez les caractéristiques que vous recherchez chez un candidat. Une fois de plus, vous pouvez utiliser un test de personnalité ou au moins quelques questions du test. Le but est de pouvoir discerner les traits de caractère d’un candidat et établir si oui ou non celui-ci correspond à votre culture d’entreprise. Les traits de caractère peuvent se refléter à travers la capacité du candidat à travailler en équipe, à être polyvalent, bienveillant, autonome, audacieux, etc. Généralement, la personnalité a plus d’importance que les connaissances et les compétences d’un candidat. La personnalité est en effet plus profonde, donc difficile ou même impossible à changer. Les compétences et connaissances quant à elles s’assimilent assez rapidement et de manière continue. C’est bien pour cela que souvent, quand un recruteur ne tient pas suffisamment en compte de la personnalité du candidat, le salarié et l’entreprise parviennent mal à trouver une adéquation. Cela engendre une démission prématurée du salarié ou un

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Qu’est-ce que la formation ?

Qu’est-ce que la formation ? Depuis la mise en place de la loi de 1971, le monde de la formation a connu pas mal d’évolutions. Et lors de la séance de formation, le formateur joue un rôle important. Mais c’est quoi exactement une formation et quelles sont les missions réalisées par un formateur ? Définition de la formation D’une manière générale, la formation est tout simplement une action exercée sur une ou plusieurs personnes. Cette action est réalisée par un formateur et a pour but d’adapter au niveau technique, physique et psychologique les apprenants. Il peut s’agir donc d’un apprentissage de connaissance ou de méthodes de travail. Pendant la formation, on acquiert aussi des savoir-faire, de nouveaux comportements et des expériences. La formation nous permet donc de nous adapter au monde professionnel, de développer le potentiel et l’intelligence des individus. En dehors de cela, elle permet aussi d’augmenter les capacités d’adaptation et de régulariser l’individu dans ses apports avec son monde professionnel, etc. Communication entre le formateur et les formes Être un formateur nécessite non seulement des connaissances, mais aussi d’autres techniques telles que la communication. Mais sachez que : Le formateur n’est pas une personne qui sait tout, c’est-à-dire un individu rempli de connaissances ; Le formateur est une personne qui sait communiquer avec les gens, c’est-à-dire un animateur. Il doit avoir un état d’esprit et une attitude permettant aux élèves de participer et d’apprendre dans la vie. Le rôle principal d’un formateur donc, c’est de transmettre des connaissances, des techniques ainsi que des attitudes. Le formateur permet de rendre le groupe plus actif qui est déjà nécessaire à son apprentissage. Il doit commencer d’abord par animer le groupe, puis communiquer avec le groupe. Le formateur et l’évaluation des résultats Un bon formateur se voit par la qualité de son exposé et sa démonstration. Par contre, s’il n’y a formation que quand il y a eu communication, le formateur doit être exigeant.Le formateur ne doit pas rester sur la qualité de son exposé, mais il faut que ceci soit par les formés. L’exposé est comme une sorte d’invitation qui permet aux formes de faire un auto apprentissage et d’une recherche active. Être un formateur ne veut pas dire réaliser des performances orales manuelles devant les apprenants. Cela ne suffit pas, mais il faut que les formes comprennent et assimilent ce qu’ils ont appris. On ne mesure pas alors la qualité d’un formateur par son action, mais aussi par les résultats obtenus par les formés. Il arrive la plupart du temps qu’un formateur brillant est un mauvais formateur. La raison est simple, car il se soucie tout simplement de briller devant tout le monde. Il ne fait pas en sorte que les formés aient de bons résultats. Auparavant, l’enseignement se concentre uniquement sur la personne de l’instructeur c’est sur la séance d’instruction. Pendant l’époque traditionnelle, l’enseignement mettait seulement en valeur le formateur, mais non le résultat obtenu. En revanche, à l’époque de la formation bien comprise, l’instructeur est tout simplement un moyen. Pendant la séance de formation, le groupe de personnes qui suit la formation est le personnage principal. La formation est destinée aux formes et ces derniers doivent être le souci permanent de l’instructeur. À la fin de la formation, on évalue si le groupe a compris ou non ce qu’il a appris. Et le résultat de cela qui permet de juger le formateur, c’est-à-dire bon ou mauvais formateur. D’ailleurs en choisissant le d’installer le logiciel seven RENT, vous avez l’assurance d’être mis entre les mains de formateurs expérimentés et spécialistes métier.

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