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Création automatisée, c’est quoi ?

Création automatisée, c’est quoi ? L’utilité du système automatisé concerne le domaine de la création de contenu dans le monde des affaires. Les entreprises veulent impressionner les clients par le biais de ressources en contenu. Leurs besoins en rapidité et en grandes quantités ne seront assouvis que par une automatisation de son système. Le but de ce système réside dans la réduction des tâches administratives et donne plus du temps aux professionnels de terminer leur travail. L’outil de création automatisée se charge des tâches répétitives et à faible valeur ajoutée de la production créative. Il devrait être complémentaire aux travaux attribués aux créatifs de contenu. Pour ce faire, il faudra tirer avantage du monde de la technologie qui est omniprésente dans la vie. L’exemple concret et le plus proche est celui de l’automatisation marketing ou plus précisément des contenus de blog. Seven Fleet, le logiciel de gestion de flotte automobile contient de nombreux outils automatisés. Le mode de fonctionnement de l’outil de création automatisé Pour comprendre le sujet de la création automatisé, le mieux serait de prendre un exemple concret tel que l’automatisation marketing. Le marché numérique marketing n’avance qu’en utilisant des contenus multiples et macrocibles. Le but est d’attirer plus de clients à aimer et acheter la marque représentée. Chaque campagne a l’obligation de se démarquer des autres campagnes. Chaque contenu à publier doit répondre aux qualités actuelles du contenu. L’image sera également mise en valeur que si un grand nombre de contenus est mis en circulation. Ces exigences requièrent une grande quantité de travail pour les créateurs et les designers. Les règles et les conditions de publications évoquent plusieurs paramètres à respecter. Par exemple, l’alignement du contenu aux canaux. Pour ce faire, la production du contenu en divers formats est requise. Si la compagnie compte seulement sur ses ressources humaines pour faire le travail, le deadline ne sera jamais respecté. Elle sera respectée dans la mesure où la qualité du travail n’est pas convenable. Les outils de création automatisée offrent, dans ce cadre, un coup de main aux professionnels. D’une part, les professionnels se chargent de la tâche de création et de supervision. D’autre part, l’outil garantit un rendu réel meilleur et de qualité. L’outil de création automatisé est assimilé à l’outil de conception direct de l’aspiration personnelle de l’artiste marketing. La chaîne de production commence par la soumission des créatifs personnalisés. Ensuite, elle s’accompagne d’une instruction de personnalisation à émettre à l’outil. La répétition des tâches se trouve totalement accaparée par l’outil de conception. Il reste beaucoup de temps pour la créativité des humains. En ce moment, plusieurs guides sont disponibles sur le web afin d’aider les nouveaux entrepreneurs dans leurs projets. Les guides du Digital Brand Template & Studio sont les références du moment. Les principaux mérites des outils de création automatisée par rapport aux créations de contenu L’atout majeur des outils de création automatisée est le gain de temps sur la durée de production de contenu. L’automatisation du contenu à publier permet un processus plus court et plus performant. Le réinvestissement de ce temps en plus offre une optimisation de production à la campagne. Les équipes créatives auront plus de temps à l’élaboration de la stratégie de création ou l’exploitation des informations obtenues. En définitive, le niveau de rentabilité sera de plus en plus élevé dans ces conditions. À ce sujet, les équipes auront une meilleure vue d’ensemble sur le processus de création de contenu. Ils sont moins impliqués dans des tâches d’itération. Leur concentration est liée aux flux du travail. Les tâches sont désormais sous la supervision totale des équipes. Le contenu de la marque devient plus personnalisé selon les besoins des clients. L’automatisation du contenu permet une meilleure vision sur la gestion de proposition. Encore une fois, des guides tels que Brand Guidelines de Bynder peuvent vous aider sur la maintenance de la cohérence de votre marque. La création en itération se trouve bannie du cycle de production des équipes grâce à la technologie de l’automatisation. Malgré les multitudes variantes requises par le marché, la création devient plus rapide avec l’aide de cette nouvelle technologie. La perspective de cohérence avec les variations mineures nécessite une analyse approfondie de la version plus performante à la marque. Cette tâche de test A/B requiert une habileté en ce qui concerne le tracking. Plusieurs professionnels du domaine du marketing possèdent déjà cette compétence. Mais, afin d’avoir une transition digitale plus fluide, il faut passer à un système d’automatisation.

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Qu’est-ce qu’un serveur ?

Qu’est-ce qu’un serveur ? Le serveur se définit comme un système ou un ordinateur qui offre l’accès à des données, des logiciels, des services et des ressources aux autres ordinateurs. Tous ces éléments sont accessibles sur un réseau. L’ordinateur est vu comme un serveur dès qu’il distribue des ressources avec d’autres machines clientes. Le serveur se décline en différents types, allant des serveurs web aux serveurs de messagerie, en passant par les serveurs virtuels. Comment fonctionne le serveur ? Le serveur met à la disposition d’un autre serveur des ressources et se sert en même temps de celles dont dispose ce dernier. Cela signifie qu’un système peut à la fois jouer le rôle de serveur et de client. Les premiers serveurs étaient des ordinateurs centraux ou encore des ordinateurs miniatures. Ces derniers se révélaient plus compacts que les systèmes mainframe, d’où leur appellation. Grâce aux évolutions technologiques, ils sont devenus plus grands que les ordinateurs de bureau d’aujourd’hui. Ce qui peut laisser leur nom paraître grotesque. Depuis leur création, ce type de serveurs a été branché à des clients appelés « terminaux » qui fonctionnaient sans aucun calcul. Portant le surnom de « terminal idiot », il servait uniquement au traitement de la saisie de donnée en utilisant un clavier ou un lecteur de carte. Il s’occupait ensuite d’afficher les résultats des calculs via un écran ou une imprimante. C’est l’autre serveur qui s’occupait de faire les calculs. Des années plus tard, la majorité des serveurs sont devenus de puissants systèmes dédiés branchés à un réseau d’ordinateurs « clients » peu puissants. C’est ce qu’on appelle « environnement client-serveur » : le serveur et l’ordinateur client sont tous deux capables d’effectuer des calculs, mais le premier peut s’occuper d’autres tâches. Certains modèles informatiques antérieurs ont permis de démontrer que le serveur pouvait être à la fois le mainframe, sans qu’il ne soit dénommé de la même manière. Puis, le serveur est vu d’une autre manière compte tenu des évolutions technologiques. Actuellement, le serveur peut être considéré comme un simple logiciel fonctionnant autour de plusieurs machines. Dans ce cas de figure, il est qualifié de serveur virtuel. Ce type de serveur complète les fonctionnalités d’un serveur physique. On le retrouve aujourd’hui sur le matériel d’un fournisseur en Internet : c’est ce qu’on appelle « cloud computing ». Le serveur a été pensé pour s’occuper d’une tâche unique. C’est par exemple le cas d’un serveur mail ou de messagerie qui s’assure de la réception et du stockage de mails avant d’en donner l’accès au client. Certains serveurs peuvent s’occuper de plusieurs tâches comme c’est le cas d’un serveur d’impression et d’un serveur de fichiers. Ces derniers permettent de conserver des fichiers et de les imprimer éventuellement en transférant ceux-ci vers une imprimante connectée au réseau. Les différentes tâches du serveur Un périphérique joue le rôle de serveur lorsqu’il a été spécialement configuré conformément aux requêtes des clients via un réseau Internet. Ce rôle peut être assuré par une application ou un rôle installé ou les deux sur un système d’exploitation. Sur Windows Server de Microsoft par exemple, les requêtes clients sont prises en compte, traitées et répondues par le système. Les services installés complètent les requêtes clients. Le serveur s’occupe alors de répondre à la moindre de ces requêtes. À titre d’exemple, dans le cas d’un serveur apache, les réponses aux requêtes d’un navigateur sont envoyées sur une application tierce préalablement téléchargée sur un système d’exploitation. Lorsqu’un client requiert des données ou un paramètre sur un serveur, il adresse sa requête au réseau. Le serveur reçoit celle-ci et adresse sa réponse conformément à ce qui lui a été demandé. Le modèle client-serveur est donc valable en mode requête-réponse. Le traitement d’une requête-réponse peut inclure plusieurs tâches dont le serveur sera chargé : vérification de l’identité du client qui adresse la requête, vérification de l’accès du client aux données recherchées, renvoi de la réponse en fonction de la méthode souhaitée. Les types de serveurs Les serveurs se déclinent en différents types qui varient selon leurs fonctions. Chaque réseau est composé de deux types de serveur à usage régulier au minimum : Le serveur de fichiers Ce type de serveur s’occupe de l’hébergement et du partage de fichiers avec plusieurs utilisateurs ou clients. Les opérations de sauvegarde sont devenues plus simples grâce au stockage central des fichiers. La sécurisation des fichiers est également assurée par le serveur de fichiers, permettant ainsi de préserver leur intégrité face aux éventuelles pannes. La vitesse de lecture et d’écriture est optimisée à l’aide de la partie matérielle de ce type de serveur, ce qui offre la possibilité d’augmenter les performances de la machine. Le serveur d’impression Il s’agit d’une sorte de serveur permettant de gérer les fonctions d’impression. Nul besoin de connecter chaque poste de travail à une imprimante pour imprimer des fichiers ! Il suffit de recourir à un serveur commun pour exécuter toutes les tâches d’impression, quel que soit le nombre de clients. Actuellement, il existe des imprimantes à la taille imposante qui proposent des fonctionnalités de haut niveau. Ce type de machines perfectionnées dispose de leur propre serveur d’impression, ce qui ne nécessite plus le recours à un serveur informatisé. C’est un serveur interne qui répond à toutes demandes d’impression. Le serveur d’application Ce type de serveur empêche les systèmes clients d’exécuter des applications en leur proposant un contexte d’exécution. Il héberge des applications gourmandes en ressources souvent sollicitées par plusieurs utilisateurs à la fois. De ce fait, les clients n’ont plus besoin d’une bonne quantité de ressources pour lancer leurs applications. D’autant plus que l’installation et les mises à jour des logiciels ne sont plus utiles. Il suffit de lancer le serveur pour garantir le bon fonctionnement de toutes les applications des ordinateurs clients. Le serveur DNS Le serveur Domain Name System ou DNS est une sorte de serveur d’application dédié à la résolution des noms de domaines des systèmes clients. Ces derniers sont concrètement des appellations que l’homme peut comprendre mais qui s’apparentent à une adresse IP exploitable par un ordinateur. Ce type de serveur se

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Factures : quelles sont vos obligations ?

Factures : quelles sont vos obligations ? La facture n’est valable que si elle contient certaines mentions obligatoires. Dans le cas contraire, celui qui l’a délivré peut être frappé d’amende. En fonction de la vente conclue, ce document vous lie par certaines règles et obligations. Définition d’une facture La facture est un document qui sert à prouver une opération commerciale. Il est surtout pris en considération sur le plan juridique. En plus de matérialiser toute démarche financière, la facture constitue une pièce comptable. Elle sert aussi de preuve inhérente à la collecte et la déduction de la TVA sur le prix d’achat. Un document obligatoire dans une transaction financière entre professionnels Lorsque deux professionnels concluent une vente, chacun doit avoir sa propre facture. Le document est édité en deux exemplaires et remis lors de la livraison de la marchandise ou à la fin de l’exécution d’un service. L’acheteur doit exiger sa facture au vendeur. Il arrive que la facturation se fasse dans le cadre d’une vente entre un professionnel et un particulier. Le cas échéant, la délivrance d’une facture n’est exigée que dans les situations suivantes : Lorsque le client  réclame sa facture; Lorsque la vente a eu lieu à distance ; Lorsque les livraisons intracommunautaires sont exonérées de TVA. Dans d’autres situations, la remise d’un simple ticket de caisse suffit pour boucler une vente. Il existe des règles qui régissent l’émission de factures dans le cadre des ventes en ligne. Un délai de rétractation, des modalités d’application et des garanties légales sont mentionnés dans la facture. Dans le cas d’une prestation de services effectuée pour un particulier, il faut fournir une facture lorsque : Le coût du service est de 25 euros TTC minimum ; Le client demande une facture ; Des travaux immobiliers sont en cause. La facture est établie en double exemplaire : le client en reçoit l’original. On y retrouve généralement les mentions qui suivent : La date d’émission de la facture ; Les informations concernant l’entreprise (raison sociale, siège, n° Siren…) ; Le nom du client ; Les informations concernant l’exécution de la prestation (date, lieu, nature de la prestation) ; Le décompte détaillé des prestations effectuées ; Le total du montant à payer. La facturation est obligatoire dans certains domaines d’activités. Elle concerne notamment les secteurs suivants : l’hôtellerie et la restauration, la location meublée, la construction de bâtiments, la vente d’équipements de maison, les dépannages par un garage, les services de déménagement, la copropriété, la comptabilité, les prestations sanitaires, les auto-écoles et les prestations topographiques. Lorsqu’un professionnel est assujetti à la TVA et dispose d’un logiciel de caisse pour ses activités, son logiciel de caisse doit avoir un certificat de conformité délivré par son éditeur. Un organisme accrédité est aussi en mesure de délivrer une telle certification de conformité. Cette obligation est valable pour les systèmes de caisses permettant d’enregistrer des paiements dus aux ventes et aux prestations de services réalisées. Si le logiciel de caisse n’a pas obtenu de certificat de conformité, l’utilisateur peut être soumis au paiement d’une amende de 7 500 €. Dès lors que cette non-conformité est constatée par les autorités compétentes, il est obligé de mettre son logiciel ( de gestion d’atelier par exemple) en conformité dans les 60 jours suivants l’amende. Les mentions qui figurent obligatoirement sur une facture La facture ne peut être valable que si elle contient certaines mentions, sous peine de payer une amende. Ces mentions sont notamment : Le numéro de la facture : il s’agit d’un numéro unique qui marque la chronologie des factures fournies par le prestataire et qui distingue celle-ci des autres factures ; La date d’émission de la facture ; Les informations concernant le vendeur et l’acheteur (numéro Siren, dénomination sociale, adresse…) ; L’adresse où la facturation a été faite ; Le numéro que porte le bon de commande ; Le numéro individuel d’identification de TVA appartenant au vendeur ou au prestataire ou celui du représentant fiscal pour les entreprises basées en dehors de l’Union européenne ; La date à laquelle la prestation de services ou la vente a été conclue ; La description des produits ou services consommés (nature et quantité) ; Le coût des services ou produits par unité HT : le total est calculé hors taxes. La valeur des taxes à payer est indiquée dans la facture. Pour toute TVA due, la facture mentionne l’article du code général des impôts qui prévoit l’exonération de TVA. Cette mention peut s’apparenter à la suivante pour les TPE : « Franchise de TVA, art. 293B du CGI ». Les réductions sur les achats effectués s’il y en a (les opérations d’escompte et les réductions différées ne comptent pas) ; La date du règlement de la facture : n’oublions pas les conditions d’escompte applicables si le paiement s’effectue à une date antérieure à celle prévue dans les conditions générales de vente. La facture doit aussi mentionner les éventuelles pénalités et les indemnités exigibles en cas de retard de paiement. Si le cas se présente : Pour une entreprise individuelle, la facture doit comporter la dénomination utilisée pour exercer son activité professionnelle, le nom de son dirigeant et la mention « entreprise individuelle » ou « EI » ; Pour un artisan du bâtiment qui doit souscrire à une assurance décennale, la facture mentionne obligatoirement les références de son contrat, les informations concernant son assuré et son garant et la couverture géographique de son contrat et de sa garantie ; Pour une association agréée ou un centre de gestion agréé, la mention « Acceptant le règlement des sommes dues par chèque en qualité de membre » est obligatoire sur la facture ; La mention « gérant mandataire » ou « locataire-gérant » ; La mention « franchisé » ; La mention « titulaire d’une Cape (Contrat d’appui au projet d’entreprise) suivie de la raison sociale, le siège social et le numéro d’identification de l’entreprise, ainsi que la date d’échéance du contrat ; Si l’entreprise ne pose pas l’une de ces mentions obligatoires sur sa facture, elle risque : Le paiement d’une amende de 15 € par mention manquante ou erronée sur la facture. Le plafond de l’amende est de ¼ du montant de la facture ; Le paiement d’une amende administrative

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Comment planifier sa journée de travail ?

Comment planifier sa journée de travail ? Dans le domaine professionnel, il est essentiel de savoir planifier ses programmes de travail. Le fait de bien structurer sa journée et de formaliser des repères est aussi indispensable pour la gestion de votre temps. La planification de la journée de travail est bénéfique non seulement pour vous, mais également pour vos coéquipiers. Les raisons de planifier votre journée de travail La planification de la journée de travail permet bien évidemment d’apporter de nombreux avantages. Les intérêts obtenus par une planification méticuleuse sont : Le gain de temps ; Le gain en efficacité ; Le gain d’énergie ; La diminution du stress ; Plus de disponibilité pour ses coéquipiers ; La meilleure gestion pour des imprévus. Les meilleures habitudes à pratiquer au quotidien Pour mieux organiser le programme du travail, il est conseillé d’appliquer quelques méthodes. Ce sont : Chaque matin, accorder un quart d’heure pour faire le point de votre journée de travail. Et n’oubliez pas de jeter un coup d’œil aussi pour celle du lendemain ; Disposer toujours un plan de journée pour ne pas oublier le programme journalier ; S’organiser de manière rigoureuse et essayer de suivre votre planning ; Mettre à jour votre planning et valider également les activités réalisées comme les tâches et les rendez-vous ; Rester sereinement en cas de travail qui demande de la tranquillité ; Garder le calme lorsque vous effectuez des tâches relatives au management ; Être disponible en cas d’imprévu ; Classez les tâches par ordre d’urgence et d’importance, mais pour cela, il est important d’utiliser, par exemple, la matrice d’Eisenhower. Planifier efficacement sa journée : comment faire ? Étant donné le cas, la planification d’une journée de travail demande des techniques et des savoir-faire. Pour avoir plus de rentabilité, vous ainsi que vos collaborateurs devrez planifier efficacement votre journée tous les jours. Analyser vos journées chaque semaine Pour planifier la journée de travail, la première chose à faire, c’est de notifier la manière dont on emploie son temps. L’étude ne se limite pas sur une journée, mais surtout sur une semaine. L’objectif principal est d’avoir une vision plus lointaine et plus précise pendant ce temps-là. Pour cela donc, il faut : Évaluer la charge de travail réalisable au quotidien ; Identifier les travaux les plus productifs ; Déterminer les temps perdus Créer un planning qui met en avant les tâches prioritaires Quand vous avez fini d’analyser les tâches, leur positionnement dans un seul et même planning est important. Mais il faut dans ce cas-là prioriser le degré de priorité mentionné dans le point suivant. Prioriser efficacement Le degré d’importance et d’urgence de chaque tâche est essentiel à déterminer pour organiser votre journée de travail efficacement. Vous pouvez vous servir de la matrice d’Eisenhower pour bien évaluer la journée. La matrice d’Eisenhower permet d’arranger et de positionner intelligemment les tâches suivant deux axes, c’est-à-dire importance et urgence. Raison pour laquelle, elle offre une représentation plus claire du travail : Les missions importantes et pressantes ; Les missions importantes, mais non pressantes ; Les missions non importantes et pressantes ; Les missions non importantes et non pressantes. Regrouper les travaux similaires Les intervalles de temps durant lesquels vous avez effectué un même type de travail doivent être définis. Il est possible de réserver, par exemple, deux ou trois heures pour le traitement des emails. Pendant ces temps-là, il faut aussi faire des appels téléphoniques, mettre à jour son agenda, ordonner ses dossiers, etc. Le fait de répondre aux courriels à chaque fois qu’ils se présentent peut-être quelquefois efficace et source de tranquillité d’esprit. Mais cela pourra perturber la concentration et les réflexions surtout lors de la réalisation d’un projet complexe. C’est pourquoi aussi, il est conseillé de mettre en mode silencieux les téléphones et les tablettes. Les notifications des courriels doivent être mises en silence et la ligne téléphonique doit être basculée vers un autre poste. Exécuter les tâches petit à petit Pour une meilleure planification de la journée de travail, il est recommandé de travailler petit à petit. Évitez de travailler en même temps sur de nombreux dossiers et de passer au projet suivant sans finir le précédent. Le mieux, c’est de réaliser les tâches une par une pour plus d’efficacité et de rapidité. Bien terminer une tâche planifiée avant d’effectuer la suivante est important à respecter, sauf en cas d’urgence. Donner du temps à ses tâches La réalisation des tâches que ce soit sur un agenda ou d’autres demande plus de durée. Ce genre d’habitude qui peut rarement se confirmer plus difficile qu’il n’y paraît. Pour ne pas gaspiller du temps, le temps destiné à chacun des éléments de son to-do-list ne doit pas être sous-estimé ou surestimé. L’important aussi, c’est de savoir administrer les interruptions et ne pas accepter si nécessaire. Une autre méthode efficace appelée Pomodoro existe et permet de se concentrer activement sur un travail durant 25 minutes sans penser à d’autres. Garder en tête ses objectifs personnels D’après la méthode SMART, il est essentiel de se fixer des objectifs personnels et de les notifier dans un agenda. Cette méthode est une excellente manière de bien organiser ses journées de travail. En dehors du fait de garder en tête, il faut également mentionner vos objectifs dans un agenda quotidien. Cela permet de rendre les objectifs plus visibles et d’avoir ses propres motivations. Organiser les imprévus Quel que soit l’aspect d’une organisation personnelle, un imprévu pourra toujours surgir à n’importe quel moment. Il peut même renverser le programme que nous avons planifié pour notre journée de travail. Pour éviter les problèmes, il est conseillé de garder des plages horaires dans son agenda. En cas d’imprévu, ses heures seront destinées à vos coéquipiers qui en ont besoin. De cette manière, l’emploi du temps ne sera pas désorganisé et l’urgence sera bien gérée efficacement. Prendre une pause après quelques heures de travail Au fur et à mesure du travail, il est important de prendre l’air entre deux travaux exécutés. Si, par exemple, on a passé intensément deux heures de travail, il faut accorder du temps de pause. Cela permet de redonner

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Caractéristiques d’une compagnie d’assurance

Caractéristiques d’une compagnie d’assurance Le portrait général d’une compagnie d’assurance La vie quotidienne d’une personne est assujettie à divers risques. Pour ce faire, la compagnie d’assurance compte limiter tous les dégâts financiers liés à ces risques. Elle se présente comme l’entité des assureurs. Son activité principale survient sur une prise en charge partielle ou en totalité des dégâts. Dans ce cas, la compagnie d’assurance offre plusieurs services liés à de multiples situations. Il est fort possible de trouver une assurance spécialisée en telle matière et en tel cas. Les domaines de couvertures d’assurance concernent en principe les dommages liés aux personnes, aux biens matériels ( tel que le matériel dans un atelier mécanique ) et les animaux. Effectivement, il existe encore d’autres domaines, mais ces trois sont les plus courants. A noter que notre logiciel de gestion mécanique et carrosserie propose la création et gestion de vos compagnies d’assurance. Toutefois, cette couverture demeure très paramétrée par une politique d’assurance. Des lois et des arrêtés ont été mis en place pour encadrer juridiquement le travail de l’assureur. Les clients doivent ainsi monter une preuve logique pour recevoir les remboursements et les dédommagements. Le fonctionnement de la compagnie d’assurance se définit sur l’enquête personnalisée de toute personne intéressée par l’assurance. Cette évaluation permet d’établir les clauses d’assurance pour chaque client ou pour chaque cas. Les risques encourus se trouvent être numérisés et bien établis au préalable. Plusieurs critères et renseignements seront recueillis avant l’établissement du contrat. Ainsi, la souscription se fera en toute connaissance de cause que ce soit pour la compagnie ou pour le client. Les principaux services présentés par une compagnie d’assurance Les domaines d’activités de la compagnie sont paramétrés principalement par les besoins de l’homme.Le besoin en couverture en cas de risque d’atteinte physique ou morale demeure le plus courant des demandes. En effet, toutes les sociétés d’assurance offrent ce service d’assurance en responsabilité civile. Ce type d’assurance sert de document officiel utile pour plusieurs domaines de la vie. Par exemple, en cas d’assurance santé, les dédommagements liés aux dégâts d’autrui sont effectués grâce à ce certificat d’assurance. De par ces faits, ce certificat est primordial pour avoir les autres types d’assurances présentes sur le marché. Étant donné l’étendue des risques que confronte l’homme dans sa vie quotidienne, la compagnie d’assurance offre également des assurances secondaires. Ils concernent principalement l’habitation, l’automobile et d’autres biens matériels. En fait, les risques naturels liés à ces biens sont multiples. En prenant à titre d’exemple : le vol ou les catastrophes naturelles. Actuellement, la compagnie d’assurance essaie de développer une nouvelle stratégie d’écoute. Elle permet de personnaliser les services proposés suivant chaque souscripteur. Ainsi, chaque client profite d’une assurance personnalisée pour ses craintes. À ce stade, cette stratégie fait naître plusieurs types d’assurances complémentaires. Par exemple, l’assurance voyage ou l’assurance animale de compagnie. L’abondance de compagnie d’assurance actuelle fait valoir la confusion des clients. Choisir son assureur est une tâche difficile pour tous puisque c’est une décision importante pour sa vie. Toutefois, les paramètres de décisions se fondent sur les réels besoins de chacun. En plus, il faut choisir une compagnie où une discussion fluide est installée. Grâce à cette confiance, la personnalisation du contrat sera bénéfique tant pour le client que pour l’assureur. Il est notable que choisir le mauvais assureur représente des répercussions financières conséquentes pour soi. Désormais, il existe des comparateurs d’assurance sur le web pour diriger à bien son dévolu.

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Que faire pour optimiser la gestion de stock des pièces détachées ?

Que faire pour optimiser la gestion de stock des pièces détachées ? Pour gérer le stock des pièces détachées avec notre logiciel de gestion atelier, les techniciens doivent effectuer des interventions dans les meilleurs délais pour ne pas surcharger les entrepôts. La gestion de stock des pièces détachées est une étape importante qui va permettre aux techniciens de réaliser les interventions essentielles. Cela va éviter de surcharger l’entrepôt avec toutes les pièces de rechange qui pourront être obsolètes au fil du temps. Quelle est l’importance de faire une optimisation de stock des pièces détachées ? La principale source qui peut mener les équipements à ne plus être utilisables, c’est les pannes qui sont très critiques. Pourtant, pour que ces pièces de rechange restent disponibles et que les clients soient satisfaits, l’entreprise de maintenance doit tout faire afin d’éviter les dégâts inutiles. Ce qui peut parfois devenir un challenge de haut niveau pour les entreprises. D’ailleurs, une optimisation de stock des pièces détachées est la clé de réussite d’une entreprise. D’autant plus que la grande partie des pièces de rechange représente un budget énorme, sans parler du transport, du stockage, de la manutention et du suivi. Si l’on souhaite faire un exploit, la bonne gestion de stocks est primordiale. L’objectif est de satisfaire les clients et maintenir une économie sur la trésorerie, d’un côté, il ne faut pas oublier d’assurer l’intégration des nouveaux techniciens de maintenance. En outre, le bon fonctionnement des équipements après défaillance nécessite la disponibilité totale afin que le sur stockage soit éliminé. C’est pour cela qu’il faut éviter à tout prix les achats excessifs des pièces détachées. Voici ce qu’il faut prendre en compte concernant les chiffres : 80 % des pièces de rechange stockées qui sont utilisées rarement ; 50 % des surstocks qui peuvent devenir obsolètes après 4 ans ; 40 % des surstocks sont liés aux achats initiaux, ce qui peut devenir une surestimation. Quel est l’impact négatif lors d’une mauvaise gestion des pièces détachées ? Le manque sur les pièces de rechange après le délai ; L’erreur après l’achat des pièces essentielles ; Le surplus en lien avec la consommation ; Le non-suivi des pièces ; Le surstock après une urgence ; La perte des pièces détachées qui sont mal entreposées ; Le remplacement des pièces qui sont supposées être l’équivalent. Quels sont les bénéfices lors d’une bonne gestion des pièces détachées ? La réduction sur le délai d’exécution en cas d’interventions ; La diminution sur le temps d’attente après l’intervention des techniciens ; La baisse sur le coût lié au stockage de pièces ; La réduction sur la perte des pièces obsolètes ; L’augmentation sur le taux de disponibilité des équipements ; L’augmentation de la satisfaction des clients. La loi encourage l’anti-gaspillage avec la bonne gestion des pièces détachées De nouvelles mesures ont été prises en compte depuis le 1er janvier 2022 pour éviter que les 280 millions d’euros sur les non alimentaires invendus soient détruits. D’ailleurs, cette énorme perte provoque des émissions de gaz à effet de serre allant jusqu’à 20 fois plus. Le recyclage ou la réutilisation des produits non alimentaires invendus va s’établir au quotidien. Par ailleurs, le nouveau décret lié à l’interdiction de l’élimination des invendus concerne particulièrement les produits électriques et électroniques. Bien sûr, cela peut concerner d’autres produits dans les prochaines années. Comment réduire le taux de consommation sur les pièces de rechange ? Pour réduire le taux de consommation sur les pièces de rechange, il est important de privilégier les pièces qui ont une longévité supérieure avec un meilleur coût. Cependant, la longévité dépend de la manière dont vous allez utiliser les pièces. Prenons l’exemple des pièces qui sont supposées être l’équivalent dans le but de réduire le stock, ce qui devient parfois un cercle vicieux. Ce qui signifie que cette solution n’est pas l’idéale, car cela peut aggraver encore plus les dégâts. Comment faire pour gérer les pièces de rechange ? Pour une bonne gestion des pièces de rechange, plusieurs techniques sont possibles. En effet, il s’agit des techniques complémentaires qui vont analyser tous les paramètres qui sont le volume des commandes, la capacité de stockage, les prévisions annuelles et la valeur de consommation annuelle. Comment faire le calcul du temps moyen entre les pannes (MTBF) ? On utilise le terme MTBF (Mean Time Between Failure ou Moyenne des Temps de Bon Fonctionnement) pour désigner le temps moyen entre les pannes. En effet, c’est la valeur qui indique la crédibilité d’un élément, d’un produit ou d’un système. Ce qui veut dire que le MTBF est la mesure qui convient au temps moyen entre les pannes. Cette analyse va s’effectuer à partir des temps théoriques de fonctionnement que les constructeurs vont apporter. En revanche, tout va dépendre des conditions d’utilisation, car le calcul du MTBF s’effectue comme suit : (Arrêt – Fonctionnement) / nombre de pannes. Quelle est la méthode ABC pour la gestion des pièces de rechange ? La méthode ABC est une analyse pour la gestion des pièces de rechange selon la classification des marchandises. Il y a trois catégories bien distinctes selon le niveau d’importance de ces pièces. Le groupe A est composé des pièces importantes qui ont une valeur de consommation par an. Ces pièces doivent être contrôlées avec précision et être placées dans des zones de conditionnement selon les facteurs de l’environnement. Pour ce qui est du réapprovisionnement, le suivi du stock des marchandises de groupe A est important pour que les désagréments ne surviennent pas. Ensuite les pièces de rechange qui sont classées dans le groupe B, ce sont des produits intermédiaires avec une valeur de consommation moyenne. Cependant, bien que ces produits n’aient pas le même positionnement que le groupe A, il faut toujours faire un suivi pour maintenir la stabilité. Pour le groupe C, vous avez les produits que l’on considère moins importants avec une valeur de consommation annuelle très réduite. D’ailleurs, le réapprovisionnement de ces produits ne se fait pas de la même manière que les autres groupes. Le ravitaillement se fait seulement après que le stock soit épuisé. Qu’en est-il de la méthode PIEU pour la

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Tout savoir sur la marge commerciale

Tout savoir sur la marge commerciale Si vous êtes un chef d’entreprise, il est nécessaire de privilégier la marge commerciale. Chaque année, il est indispensable d’analyser en valeur et en pourcentage ce concept. Mais comment faire alors pour calculer le taux de la marge commerciale ? Dans cet article, des informations seront partagées pour vous permettre de bien gérer l’aspect financier de votre entreprise via notre logiciel de gestion Seven Repair, logiciel de gestion de garage mécanique et carrosserie . La marge commerciale : de quoi s’agit-il ? La marge commerciale se définit par la division entre le coût d’achat des produits et leur prix de vente. Si on a bien analysé le prix de revient des marchandises vendues, il est possible que l’entreprise ait plus de rendement. Cette marge commerciale permet de bien positionner une société face à ses concurrents. Le calcul est destiné principalement aux entreprises œuvrant dans le domaine du négoce et de la distribution. L’entreprise doit financer les prix de marché et de production par l’intermédiaire de la somme relative à la marge commerciale. Le taux varie suivant les secteurs d’activité, 50 % pour les produits manufacturés et moins de cela à celui de grande distribution. Dans la société de grande distribution, il y a une marge nette. Celle-ci provient de la soustraction des prix de distribution à la marge commerciale. Calcul de la marge commerciale : comment faire ? Avant de calculer la marge commerciale, la définition de celle-ci doit être connue afin d’annuler la notion de TVA. Après cela, vous pouvez passer au calcul en utilisant la formule suivante : Marge commerciale = Capital hors taxes – Prix d’achat des produits vendus En dehors de cela, il est aussi important de compter le taux de la marge commerciale. Celui-ci convient au pourcentage de marge effectuée en comparaison au coût de vente. Le taux de la marge commerciale permet de définir le profit de la société sur la vente d’une marchandise. Voici alors la méthode pour effectuer le calcul du pourcentage de la marge commerciale : Taux de la marge commerciale = (marge commerciale / capital hors taxe) x 100 Accroître sa marge commerciale L’augmentation de la marge commerciale permet de donner à une entreprise plus de rentabilité. Mais pour qu’une société obtienne plus de profit, il est nécessaire de suivre quelques techniques importantes. Tout d’abord, il est essentiel d’accroître le nombre de vente de produits, puis augmenter le coût de vente de marchandises. La gestion de la rotation des stocks est également indispensable pour échapper aux phénomènes de mode. C’est le même cas face à la dévalorisation des biens ou des services. Mais surtout, il est recommandé de minimiser le coût d’achat des produits tout en gardant le même coût de vente. Prenons le cas d’une entreprise d’achat ou de la revente des uniformes au travail, elle pourra trouver d’autres fournisseurs. L’objectif de l’entreprise en question, c’est d’acheter des vêtements de travail moins chers pour qu’elle ait plus de bénéfices. Le coût de vente reste donc le même, à savoir 45 euros alors que le prix d’achat était de 25 à 20 euros. Cette entreprise obtiendra alors une marge commerciale de 25 euros, mais non pas 20 euros.

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Les 5 avantages d’une pointeuse horaire en entreprise

Les 5 avantages d’une pointeuse horaire en entreprise Pour certains salariés, le rôle du dispositif de surveillance revêt un sens péjoratif. Cela sert principalement à gérer les horaires des salariés d’une entreprise. Sa notoriété s’établit sur le marché professionnel grâce aux nombreux mérites qu’elle procure aux entreprises ainsi qu’aux salariés. 1- Une amélioration du climat de travail Les horaires non pointés officiellement sont les principales causes de conflits entre les chefs d’entreprises et le salarié. Il est tout à fait naturel que le climat social se résume souvent en litige. La présence d’une pointeuse horaire permet de limiter ce type de contentieux. Mais surtout, ce dispositif enregistre en temps réel toutes les preuves de présence de chacun. 2- Une meilleure mise au point de la rentabilité La rentabilité d’une entreprise se calcule sur la base de ses activités ainsi que les temps de présence des salariés. C’est pour cette raison que la pointeuse horaire joue un rôle important sur la survie de cette rentabilité. Elle offre les données nécessaires à l’évaluation de la situation. Ce dispositif est surtout connu comme un outil de gestion indispensable. 3- Une amélioration du service RH La pointeuse horaire se présente comme l’outil de collecte de pointage idéal pour les entreprises. Les pointages classiques qui procurent beaucoup de travail se trouvent désormais éradiqués. La gestion des horaires attribués à chacun est devenue optimale. C’est de cette manière que les risques sont écartés. La gestion de paie sera également facilitée grâce à l’extraction de ces données. 4- Une meilleure vision sur la dynamique de l’entreprise Une perte considérable s’ajoute au compte de l’entreprise ou du salarié si les horaires de travail se trouvent mal enregistrés. Les heures supplémentaires non justifiées en sont les principales causes de cette situation délicate. La mise en place d’une pointeuse horaire permet une bonne visibilité sur ces flux. Chaque coût non consommé par l’entreprise sera mis en valeur dans les données enregistrées par ce dispositif. Les données ancrées dans la pointeuse horaire s’avèrent utiles pour trouver des solutions de rentabilité. Au moindre manquement ou anomalie d’information, une décision sur le sujet peut être envisageable. 5- Une assurance pour les salariés La présence d’une pointeuse horaire dans le local de travail signifie aux yeux des salariés une gestion horaire fiable. Avec plus d’assurance, les salariés sont plus confiants, car les heures majorées sont bien enregistrées et comptabilisées. Les salariés se trouvent rassurés, car les heures majorées sont bien enregistrées et comptabilisées. La confiance mutuelle s’instaure très naturellement après son installation. En intégrant ce dispositif dans votre atelier automobile ( via notre logiciel garage automobile mécanique), votre parc auto ou dans n’importe quel type d’entreprise, le calcul des salaires qui inquiètent souvent de nombreux salariés se trouve justifié. Les bases de calcul sont désormais informatisées et s’éloignent d’une éventuelle erreur humaine.

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Ordre de réparation : tout ce qu’il faut savoir

Ordre de réparation : tout ce qu’il faut savoir L’ordre de réparation est votre balise contre tout conflit avec votre garage, découvrez les informations pour le remplir de manière efficace. L’ordre de réparation n’est pas un recours obligatoire. Mais, il donne accès à une meilleure protection pour les clients en cas de survenance d’un litige avec le garage. Voyez les réglementations et les conseils pour bien remplir votre formulaire et assurer le bon déroulement de votre réparation automobile. L’ordre de réparation automobile, qu’est-ce que c’est ? L’ordre de réparation est un formulaire étatique des travaux de réparation à entamer sur votre automobile. Tous les travaux y sont énumérés de manière à ce que le garage s’engage jusqu’à la finalité des réparations. Le formulaire est gratuit et bien qu’il ne soit pas obligatoire, il permet la protection des clients quant à l’effectivité ou non des réparations pouvant entraîner un conflit entre les deux parties. Pourquoi procéder à un ordre de réparation ? L’ordre de réparation présente plus d’un avantage pour les clients : d’une part, il assure sa protection contre les contre-prix puisque les travaux qui y figurent sont déjà comptabilisés. Cela engage alors le réparateur, tant en termes de travail, qu’en termes de paiement. Il ne peut y avoir ni un surplus, ni moins. D’autre part, cette formule va garantir au client l’assurance d’un travail fini, puisque l’étatisation des travaux de réparation est synonyme d’engagement. L’ordre de réparation est un acte juridique qui protège, de plein droit, les clients en cas de conflit ou de non-respect des termes de ce formulaire. Si les travaux durent plus longtemps, des frais de remboursement sont prévus, dans le cas échéant. Quelles informations doit contenir l’ordre de réparation ? Chaque détail, de l’identification du client, à l’identification de la voiture et à l’énumération des travaux de réparation, voyez les détails que doivent contenir l’ordre de réparation : D’une part, la présentation du prestataire, dont le garagiste : doivent y figurer la dénomination de l’entreprise, le siège, l’identification SIRET et le code APE D’autre part, la présentation du client doit y figurer l’identification du client (nom et prénom) ainsi que son adresse. L’ordre de réparation doit être daté lors de son remplissage. L’identification de votre automobile : doivent y figurer, la marque, le modèle, le numéro d’immatriculation…) ainsi que la description étatique en préparation, le kilométrage, le carburateur, les roues…) Énumération des travaux de réparation, étatique des pièces à, éventuellement, remplacer Le délai prévu pour l’accomplissement des travaux de réparation À titre complémentaire, il est envisageable d’y inscrire le mode de paiement ou encore les conditions prévues en cas de non-conformité des travaux. Ordre de réparation : nos conseils pour un bon déroulement Pour assurer un travail efficace et bien fait, il vous est conseillé de toujours établir votre ordre de réparation en vous assurant d’y énumérer tous les détails indispensables. Il peut arriver que votre garagiste refuse tout engagement se rapportant à l’ordre de réparation. Notre logiciel de gestion atelier propose la fonctionnalité d’ordre de réparation. Dans le cas échéant, il vous est conseillé, au préalable, de recourir à des services plus professionnels. Envisagez, éventuellement, de solliciter les services du concessionnaire, où vous avez fait l’achat de votre véhicule. En plus de la garantie de la conformité, ils sont plus habiles à reconnaître l’état précédent et actuel de votre véhicule, ce qui sera un plus. Faites figurer dans votre ordre de réparation le devis chiffré des travaux de réparation, cela permettra d’éviter les contre-prix, les hausses, les baisses… Cela permettra aussi de délimiter effectivement les travaux. En cas de constatation de malversation, de délai non respecté ou d’autre fait pouvant conduire à un conflit, toute opération ou de paiement travaux de réparation peuvent être refusés.

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La prospection : définition, plan, techniques

La prospection : définition, plan, techniques Faites le tour rapide de ce que l’on entend par prospection à travers cet article. Définition, les mots équivalents, les diverses techniques et des exemples tangibles pour accrocher de nouveau client. En résumé, tout pour faire de vous un incontournable dans le domaine de la vente. Plus qu’une information, cet article sera votre formation pour la bonne prise en main du logiciel vo Seven, logiciel de gestion automobile. La prospection : qu’est quoi ? Sélection parmi tant d’autres, la définition du Journal du NET est celle qui est le plus convainquant : La prospection serait l’initiative de l’entreprise à rechercher de nouveau prospect, ou client et d’en concrétiser la collaboration. C’est un domaine très étendu qui ne se limite pas à la prospection d’entreprise, mais aussi d’individu potentiellement client. Avant la technique, le brouillard est le centre du sujet en vous détaillant un peu le concept. La prospection directe C’est la technique la plus basique dans le monde de la prospection. Il s’agit de la forme de prospection B2B ou encore B2C, qui consiste en des prospections directes ou encore physiques. Cette démarche commerciale est basée sur des produits, ou services bien spécifiques. À ce jour, cette technique ne porte plus vraiment ses fruits. Le style costume cravate, attaché-case, avec mille solutions à vendre, ne fait plus trop son effet aujourd’hui. L’objectif d’une prospection est de conclure un contrat directement, sur le moment. Mais il est bon de savoir qu’il y a une différence entre les deux genres de clients potentiels : Un prospect froid : celui dont vous ne connaissez rien, ne montre aucun intérêt, et pourtant pertinent dans la liste de vos personnes cibles Un prospect chaud : celui qui montre tout son intérêt pour l’entreprise et ses produits. Vous avez tous les détails sur ses informations, ce qui vous reste à faire : faire la différence avec vos concurrents pour accrocher le contrat. Un petit exemple qui va vous motiver : vous êtes vendeur de panneaux solaires dans le domaine industriel. Le prospect froid : Une industrie qui n’est pas encore équipée de panneaux solaires. Le prospect chaud : Une industrie qui prend des renseignements sur votre site et qui se procure les paperasses informatives. La prospection indirecte Cette forme de prospection est plus stratégique que la précédente. L’idée est de faire en sorte que ce soit les clients potentiels qui viennent à vous. Pour ce faire, il déduit différentes stratégies et approches marketing à suivre :! La maîtrise des collectes de données : lors des évènements, les salons fictifs, les cookies sur site Le mailing à vocation informative : vous démarquez vos potentiels par le bai d’articles originaux, accrocheurs, qui vont retenir l’attention de vos clients potentiels. La mise en avant de votre notoriété et de votre image. Favorisez votre visibilité grâce à des partenariats, les réseaux sociaux, etc. La contribution à l’événement en rapport avec vos activités et vos produits : les expositions, les foires, les salons, etc. Pour faire court La prospection directe ou marketing direct : vendre tout de suite et maintenant La prospection indirecte : vous promouvez votre image, vous incitez à la curiosité, vous favorisez votre visibilité, et ce sera à vous de recruter vos clients.

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